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Excusez-moi monsieur... Etes-vous Frank Lefort ?


Supercrav

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Oui, bonjour.

Hehe. Oui c'est bien moi, Frank Lefort.

Ne t'inquiète pas, oui je ne pensais pas être dérangé sur cette plage déserte mais non, tu ne me déranges pas. Et tu t'appeles?

Enchanté Erwan. Mais d'où tu connais mon nom?

Ah, voilà, tu es fan de bodybuilding. Donc tu sais forcément qui je suis ! HAHAHA !

Mais reste, puisque je te dis que tu ne me déranges pas. Tu viens me voir tout respectueux, poli, aimable, en plus tu es beau comme un petit coeur, non c'est vrai tu as une gueule d'ange et t'as les yeux d'un bleu incroyable. Ah j'aurais aimé être un beau gosse comme toi ! Qu'est-ce que j'en ai bavé ado à tomber amoureux de types beaux comme des dieux, d'ailleurs tu me rappelles un gars au lycée qui m'a fait pleurer toutes les larmes de mon corps. Avec ma sale gueule c'était pas gagné...

Comment ça tu me trouves beau ? T'es gentil mais tu dis peut-être ça parce que j'ai une énorme mâchoire et un cou de dinosaure, mais franchement... Donc tu es fan de bodybuilding, c'est ça?

Héhé oui, c'est exact, je suis officiellement le bodybuilder le plus musclé au monde, depuis trois ans déjà... et avec mes 430kgs pour 2m07, tout sec, j'ai une sacrée avance !... Comme tu dis, jamais un seul homme sur cette planète n'a développé une telle masse musculaire, et j'en suis pas peu fier de ma masse musculaire.

Tu ne savais pas que j'étais gay ? Je ne m'en cache pas vraiment mais on ne me pose pas trop la question. Et toi ?

Tu me dis que non, mais... tu ferais peut-être une exception pour moi, non, mon mignon ? J'ai bien vu comment tu m'as approché... à quel point tu dévores mon corps des yeux... Regarde, mon copain, je vais bander mes muscles pour toi...

Oui, tu les aimes, hein, mes gros muscles ? Tu vois comme ils sont énormes et lourds, striés de partout ? Frank Lefort, l'ultime bodybuilder, l'homme aux biceps de 90cm, qui t'offre le spectacle de ses sublimes muscles pour ton plaisir, pour ta jouissance ? Tiens, je vais contracter l'un de mes monstrueux biceps pour faire exploser sa puissance juste devant ta petite gueule d'amour... Alors, hein ?

Hahaha, dès que ma musculature a commencé à devenir spectaculaire, il y en a pas beaucoup de petits Apollons prétentieux qui ont résisté à l'appel de mes gros muscles ! Et tu ne feras pas exception, Erwan, mon petit amour, je vois bien que tu bandes déjà autant que tu peux, touche mes muscles ! Caresse mes gros muscles !

Oui, c'est la chance de ta vie, lèche ce gros biceps ! Il est plus lourd que toi, plus gros que toi... va je me baisse, chevauche mon avant bras. Oui, voilà.
Et hoplà ! Ca fait haut, hein ? Allez prends-moi ce biceps à bras le corps, baisse-moi ce short, voilà, fous ta queue dans mon avant-bras et regarde, je détends mon bras, devant toi s'ouvre une faille entre les deux biceps... Quoi ?

Mais oui je sais que tu m'aimes, beau gosse, tu es fasciné par l'hypertrophie musculaire des bodybuilders, c'est ta passion secrète, et tu te retrouves seul à seul avec la quintessence, la débauche la plus absolue de muscle qu'un surhomme peut avoir de plus grotesque, il est si facile pour moi de faire exploser ton petit cerveau en t'offrant le moindre contact physique avec ma titanesque musculature d'une sensualité infinie.

Maintenant mets ta tête dans mon biceps, je vais faire rouler les muscles de mon bras pour te donner le plaisir sexuel ultime, en masturbant ta queue avec les muscles de mon avant bras tout en malaxant ton torse avec mes biceps.

Oh mais si tu peux encore jouir, haha. C'est parti.

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Je repris connaissance, allongé sur la plage, dans l'ombre de Frank Lefort allongé près de moi. Il était appuyé sur son avant-bras,avant-bras sur lequel reposait  majestueusement les deux masses de son énorme biceps, qui malgré leur fermeté et leur densité visibles à l'oeil nu dégoulinaient de part et d'autre jusqu'au sable.D'autant que le biceps était écrasé dans sa partie supérieure par l'opulence délirante  de son pectoral droit, une hémisphère d'une bonne centaine de kilos de muscles au bas mot, qui, bien qu'au repos et se déversant sur le côté sous son propre poids, semblait faire une épaisseur de bien 30, peut-être 40 centimètres. Bien évidemment, la globuleuse structure supportait à son tour le poids de son jumeau, le pectoral gauche, en tout point aussi ahurissant. Au loin, vers le ciel, la carrure surnaturelle du titan à mes côtés se terminait en feu d'artifice avec ses somptueux deltoïdes.

Perdu au milieu de tout cette masse, vers le sommet du torse mais engoncé dans tant de muscle, entre ce cou de taureau et ces trapèzes montant au delà des oreilles, le visage du Dieu du Muscle me regardait en souriant. Pas le visage le plus gracieux il est vrai, mais cette étincelle dans le regard, cette lueur d'assurance que seul l'homme le plus infiniment surpuissant de l'histoire de l'humanité, seul l'homme aux muscles les plus ultra hypertrophiés et plus absurdement gigantesques que tout ce dont l'humanité, la biologie ni la génétique n'ont jamais osé réver, cette lueur unique au monde en faisait l'homme le plus beau du monde pour moi.

La voix la plus virile au monde me dit " Alors mon bébé, tu as bien dormi ? Je suppose que c'est la première fois que tu t'évanouis de par l'intensité de ta jouissance sexuelle. Aucun plaisir ne peut être plus ultime que celui que peut procurer mes centaines de kilos de muscles. Je contrôle chaque fibre à la perfection. Quelque soit l'emplacement où tu glisseras ton pénis, et il n'y a que l'embarras du choix sur l'étendue de mon corps, je te ferai connaître un orgasme chaque fois différent, et chaque fois plus intense."

Il s'assied.

"Je suis ici en vacances pour une dizaine de jours. Débrouille-toi, mais je veux que tu reste avec moi"

Je me redresse aussi, et il brandit son biceps devant mon visage à nouveau, prenant bien garde à garder une distance suffisante pour que l'expansion spectaculaire du monstre ne me projette pas en arrière lors de sa bandaison. Au milieu des ballons d'acier qui prennent forme de toutes part en se couvrant de striations, et des grosses veines qui semblent se mutiplier en se gonflant, je vois un peu de liquide blanc séché."

Regarde petit ange comme tu ass bien joui dans mes biceps. Je n'ai pas tout lêché pour garder l'odeur sur moi. J'adore comme le parfum de ton sperme est sublimée par ma sueur. J'aime bien sentir l'odeur de ton sperme."

Effectivement le soleil s'est bien levé entre temps, et je m'aperçois que le corps de mon copain, oui mon copain, est couvert d'une fine couche de sueur qui fait briller et reluire ses muscles, comme de l'huile, et l'impossible devient possible : il en est encore plus impressionnant et... wow.

"Héhé, tu as vu, ma sueur a une consistance spéciale c'est comme si je m'étais huilé. C'est à cause de tous ces stéroides et ces hormones expérimentales que je m'envoie, gamin, je m'en injecte des litres et des litres !"

Je me lève, et lui toujours assis s'accorde un petit double biceps. enfin, petit... évidemment ses énormes biceps prennent la taille de planètes et il les contemple avec délice et passion, "DES LITRES ET DES LITRES ! TOUJOURS PLUS DE STEROIDES, TOUJOURS PLUS DE MUSCLE ! J'AIME LES STEROIDES, J'AIME MES MUSCLES !" Il approche tour à tour ses bras de sa bouche pour appliquer des baisers lourds et sonores sur l'excroissance la plus élevée de chacun de ses biceps. "OUI J'ADORE *smooch* LES STEROIDES *smooch* J'ADORE *smooch* MES GROS MUSCLES *smooch* VIVE LES STEROIDES *smooch* ET VIVE MES ENORMES MUSCLES SURPUISSANTS *smooch* GONFLES A BLOC *smooch* ET MON MEC LE SUPERBE ERWAN ...viens m'embrasser beau gosse."

En fait il n'y a pas que le soleil qui s'est levé, la plage s'et remplie aussi. Pas bondé mais il y a bien une cinquantaine de personnes en train de nois scruter. M'est avis qu'ils regardaient déjà avant, mais suite au petit spectacle de Frank le temps s'et arrêté et ils sont tous bouche bée devant l'hallucinante vision de ce mutant dont l'empilement de muscles absurdement surdéveloppés par dessus toujours plus de muscles toujours plus obscènement gonflés et protubérants a vaguement forme humaine, et je m'avance, empli d'une fierté comme je n'en avais jamais connu - alors qu'avec ma gueule, il faut bien l'avouer, absolument sublime, irrésistible je dirais même vu qu'aucune femme ne m'a jamais résisté sans que je n'aie jamais cherché à séduire, et je ne compte plus les déclarations d'amour de types aussi hétéros que bourrés, bref j'ai l'habitude d'entrer dans une pièce en plastronnant sûr de l'admiration générale que j'allais susciter inmanquablement.

Mais là, merde, c'est l'ultime Dieu du Muscle en personne, Franck Lefort, le géant à la musculature la plus puissante, massive, bref un corps si magnifique et tellement ultra musculeux qu'une nouvelle classification (homo mega mega musclus) a été créée uniquement pour lui, et enfin l'homme dont une étude aurait prouvé, qu'il est le plus gros producteur de sperme au monde. En effet sur chacune de ses photos, chacune de ses vidéos, ce sont des hectolitres de sperme qui sont déversés à chaque seconde. Et là, alors qu'il est assis devant moi, je suis pile à la bonne hauteur pour que nous bouches rentrent en communion.

Alors que mon torse s'enfonce doucement dans l'océan de muscles de ses titanesques pectoraux, je laisse son regard s'enfoncer dans le bleu infini de mes yeux, et une fois que j'ai goûté les lèvres de Dieu, le seul et unique Dieu digne de ce nom, je sens sa langue puissante et joueuse englober la mienne pour la masser tendrement.

Spontanément, mes mains se sont posées sur le sommet de ses biceps, et il en relâche alors la contraction afin que je puisse malaxer, pétrir, soupeser, caresser l'infinie perfection de ces immensités hallucinantes de pur gros muscle, des quantités impensables de biceps aussi voluptueux que sensuels.
J'écrasai une petite larme, il s'éloigne un peu, me sourit, et me dit

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"Il est temps pour toi et moi de bouger d'ici".

Je mets mon corps en branle pour entreprendre ma mise en station debout. Je pose mon massif pied gauche au sol, appuis mon poing droit pour entrainer mon bassin et sans grand mal je me dresse de toute ma hauteur. De là, je prends un aperçu circulaire de la plage qui m'entoure, satisfait de l'attention portée à mon égard, et comme toujours du fait que je suis de loin le plus immense, le plus imposant, le plus puissant énergumène des lieues à la ronde.

Mais je n'oublie pas mon petit trésor pour autant, je sais à peu près où il et sous mes pecs, sans le brusquer je me tourne vers les dunes, et je lui dis
"Quand tu auras ramassé tes affaires prends moi par la taille, nous allons quitter la plage."

Je le sens se coller contre moi immédiatement, il avait déjà tout bien fait de lui-même, un bon gars vraiment, et en soulevant mon bras j'aperçois sa gueule d'ange qui me sourit béatement, le bleu de ses yeux rayonnant de bonheur, et en plaçant ma grosse paluche sur son épaule, je nous mis en marche.
Pas pour bien longtemps évidemment, la vue de mon départ fit sortir de leur torpeur une poignée d'admirateurs, paniquès à l'idée de ne pas saisir l'opportunité de m'approcher davantage.

Oui, bien sûr vous pouvez me prendre en photo. Non, je ne veux pas predre de photo avec vous, je suis avec mon copain, on a pas souvent l'occasion de passer du temps ensemble et je suis près de lui et personne d'autre. Prenez-nous en photo tous les deux. Vous avez vu comme il est beau? Oui, il est beau comme un Dieu. Il s'appelle Erwan. Héhé oui il en a de la chance, mais j'en ai aussi d'être l'homme d'un type aussi sublime. On va devoir y aller par contre. Un bisou ? Si tu veux bien mon Erwan. Allez va, grimpe sur mon biceps. Je t'aime mon lapin. Mmmmch.

Merci beaucoup, au revoir. D'accord juste quelques poses... Hahaha merci. Au revoir.

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J'aurais bien aimé qu'il me demande auparavant, de m'exposer comme ça comme étant son amant pour des photos qui allaient faire le tour d'internet en quelques minutes. Tout le monde m'a toujours connu hétéro... et j'ai toujours été hétéro... Mais en même temps c'était super jouissif. Je n'ai jamais été aussi heureux d'avoir la chance d'être aussi beau, il y avait de la jalousie proche de la haine chez chacune des personnes qui étaient venues le solliciter. Et, après tout, j'étais réellement, totalement, infiniment, sous le charme de ce gars, ensorcelé par cette montagne de muscles et puis voilà, il y aurait une vie avant, et une après.

 Je n'en reviens toujours pas qu'il m'ait fait assoir sur son biceps pour m'embrasser... Je veux dire oui; il m'avait déjà fait monter  sur ses biceps mais cette fois il a gardé son bras à la verticale, plié son avant bras parallèle au sol, et, comment dire, j'étais assis sur l'épaisseur de son biceps. Il faisait un "side biceps" comme on dit en bodybuilding et la protubérence du biceps en bandaison m'offrait une assise largement suffisante.

Perdu dans mes pensées j'aurais presque pu en oublier la présence du gigantesque monstre de muscles à mes côtés, enfin, aucune chance que je l'oublie vraiment, mais c'est la première fois que je me sentais familier de sa présence au point de pouvoir penser à autre chose. Enfin, je pensais à lui, mais... bref.
Me voyant pensif, il me jette un

"Hé, mon coeur. C'était un peu abrupt mais de toute façon on allait nous voir ensemble, et tu aurais préféré que je te laisse de côté pour faire des photos avec tous ces gens?"

Obligé de le regarder en souriant, même si son pectoral ne nous permettait pas de nous voir.

"Que tu m'en veuilles ou non, je saurai largement me faire pardonner avec l'extase suprême que je vais t'offrir, tu n'en as vu qu'une infime partie, et grâce à mon corps sublime, mon corps de géant et surtout grâce à mes muscles incroyablement puissants et tellement énormes, ultra hypertrophiés bien au delà de ce que l'humanité et la science a toujours cru que le développement musculaire était possible" - oui, j'avais joui à nouveau déjà à ce moment là - " mes muscles plus absurdement titanesques que le plus dérangé des obsédés sexuels du bodybuilding n'aurait jamais rêvé,  je vais te... t'as encore joui? bah."

On s'est rendus dans une luxueuse villa que quelqu'un lui avait prétée, non loin de la plage. Il me dit qu'il a faim, et qu'on va dîner. Je me douche, Il me trouve rapidement des vêtements à ma taille, puis il va s'habiller à son tour.

En le voyant revenir je me retrouve instantanément en érection, ma queue est dure comme l'acier, en évidence dans mon pantalon de costume blanc crème. Oui il m'a mis en costume blanc. Quant à lui...

Il porte d'énormes baskets, un bermuda lègèrement ample qui lui arrive au genou, mais tout de même serré étiré au niveau des quadriceps, il ne porte sûrement rien en dessous vu que ses parties génitales ballotent généreusement là dedans, une grosse ceinture en cuir maintient le short à sa taille, et au dessus, au dessus il porte un bout de tissu maintenu par deux très longues ficelles qui jaillissent de l'extrémité supérieure latérale de chacun de ses pectoraux, pour s'envoler à travers les airs et disparaître à nouveau dans ses trapèzes.

J'étais bien sûr estomaqué devant l'exposition outrancière des muscles de son torse. Il fit le choix d'une tenue plus "corecte", un autre débardeur donc, mais qui cette fois couvrait une partie de ses pectoraux. Bien évidemment, les deux énormes blocs de granit projetaient tout de même leur masse par devant lui, le spectacle de l'affrontement de leurs fibres musculaires respetives resplendissait dans la vaste échancrure centrale, et de part et d'autre ses tétons pointés vers le sol étaient bien en évidence. Et le peu que recouvrait le vêtement, en élasthane bleu électrique, ne laissait que peu de place à l'imagination.

Je dois faire à peu près la même tête que pour le haut précédent, mais il me dit t'inquiète, je vais être un peu discret, et  le revoilà avec un blouson qui ferait facilement office de tente pour une famille de quatre personnes.

Et on est partis. On monte dans son véhicule, une sorte de pick-up/hummer, et au bout d'une vingtaine de minutes nous voilà sur le parking du restaurant. Qui a l'air assez classe, classe bord-de-mer, mais assez classe tout de même.

Il coupe le contact et se penche vers moi.

 "Tu vas partir devant et prendre la table, là, le box à droite. Comme ça tu pourras admirer mon entrée et l'aura de ton homme. Allez go !
J'entre dans la salle à manger. J'y crée mon petit émoi habituel, d'autant que le costar blanc n'arrange rien, le lot habituel de jeunes filles se donnent du coude en me montrant du doigt, et je m'amuse un peu à désintègrer deux ou trois messieurs propres sur eux mais un peu trop attentifs à mon entrée, juste avec quelques salves du laser bleu de mes yeux.

J'annonce "deux personnes", et l'on me propose un petit guéridon dans un coin.

"Impossible que nous nous asseyons là. Je suis désolé" dis-je au maître d'hôtel.Il me fait un sourire crispé. Son attirance initiale pour ma gueule d'amour n'aura eu qu'un effet très limité."Mais voyons monsieur soyez raisonnable je vous en prie, cette place est tout à fait acceptable, nous sommes très pris ce soir, comme vous pouvez le voir...

- Vous ne comprenez pas, ce n'et pas de la mauvaise volonté, mais il n'y a aucune chance pour mon compagnon arrive à 'installer dans un espace aussi confiné.

- ah oui? Mais ces places sont agréées pour les personnes handicapées je vous assure !

- ce n'est pas la question voyez, c'est que mon compagnon très grand et extrèmement, extrèmement musclé.

- Ah ah ! Oh monsieur pardonnez-moi, mais tout de même, en attendant que Frank Lefort passe la porte du restaurant...

- ... et c'est bien lui mon homme, cher monsieur. Le seul et unique Frank Lefort, le plus grand bodybuilder de tous les temps, est mon compagnon." Quel pied. J'en remets une couche. "Mon homme et moi aimerions pouvoir passer notre dîner en amoureux dans les meilleures conditions, c'est une date importante pour nous." Cette tête qu'il fait."Je suis désolé d'insister, mais mon Frank est perpetuellement confronté au manque de confort, et comme je l'aime de tout mon amour, je voudrais que son corps soit aussi à son aise que possible. Cette table là...

- Oui, oui bien sûr monsieur, je vous demande pardon, je n'avais pas compris, c'est un cas de force majeure, je vais déplacer cette réservation pour que vous preniez la table centrale." Sens dessus dessous le pauvre garçon. "Si vous dites que Mr Lefort doit vous rejoindre..."

C'était mignon, je voulais faire quelque chose pour lui. Je crois que je prenais bizarrement goût à mon côté gay. Je me penche un peu vers lui, il est un peu plus petit que moi, et en le bombardant de mon laser bleu en mode full blast "C'est très gentil..." je lui caresse la joue du pouce,"...François c'est ça ?" Et un petit bisou sur sa bouche tremblottante. "Merci François". Personne ne nous a calculé dans le coin isolé de la petite table, et grand seigneur, je monte la petite estrade où se situe la table royale et m'y installe.

Je ne sais pas si je me fais des idées, mais j'ai l'impression que le staff bruisse de chuchottements et de grande agitation, je m'en persuade même, et pour moi, clairement, le bruit de l'arrivée possible de Frank court rapidement parmi eux, et cela leur crée une excitation toute particulière. Je vois même des cuisiniers se glisser en salle discrètement en attendant le spectacle.

Bon, faut qu'il arrive je vais avoir l'air con sinon.
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Ca y est. Ah, il a réussi. Qu'il est beau dans ce petit costard blanc. A moi de jouer. Enfin je vais finir mes injections avant. Plus que trois seulement. Ah non quatre, faut pas que j'oublie la grosse bertha. 20cc, une galère à planter, et qui me coûte une blinde, normalement je réserve l'artillerie lourde pour les guest posings et les photoshoots, mais là j'ai envie de me faire plaisir. Et à Erwan aussi.

Bien, allez on rentre les épaules, on ne contracte pas les bras... bon j'aurai du mal à me faire tout petit mais bon, je vais tenter de faire un petit effet...
Hahaha. C'est bien ce que je pensais, il a prévenu que j'arrivais. Avant même de me baisser pour passer la porte d'entrée de travers, je vois que le personnel est aux aguêts. Je prends une petite voix. mais pas le temps de dire un mot, le maître d'hôtel se lance :

" Soyez le bienvenu, Mr Lefort, c'est un..."

Même avec la petite voix je lui coupe la parole, faut pas déconner. Avec le silence total créé par mon entrée tout le monde m'entend de toute façon.

"Oui je viens rejoindre mon ami, il doit être déjà là, c'est un homme d'1m85 extraordinairement beau, avec les yeux d'un bleu extrèmement intense...

- Tout à fait monsieur, vous voulez forcément parler du sublime jeune homme assis à la grande table du milieu. Voulez vous que je vous débarasse...?

- Oh oui s'il vous plaît. Cette veste est un peu petite et je suis sur le point de la faire exploser !" et c'était vrai, d'autant que la dynamite n'allait pas tarder à faire son effet."

Ils s'y prirent à trois, et au fur et à mesure que la veste libérait mon torse je laissais mes muscles prendre leur expansion. J'ai tout de même légèrement gonflé mes biceps un peu en avance histoire qu'ils peinent à retirer mes manches.

The show is on, la salle est complètement ahurie, je bombe mon torse en secouant les bras, "Aah, merci messieurs d'avoir libéré mes biceps ! Regardez ils sont tout engourdis" Je bande mes biceps pour les faire exploser au visage de mes trois sauveurs - je sens la jalousie de l'obséquieux maître d'hôtel derrière moi. "Allez-y touchez les, vous allez voir, ils n'ont pas encore retrouvé leur fermeté habituelle" Les petits gars se régalent à tater autant qu'ils peuvent de mes mètres carrés de biceps. Ils atteignent l'orgasme prestement avec une certaine discrétion. Il y en a un qui vit clairement le plus beau jour de sa vie ! Il ne veut pas lâcher. Héhé. Bah, je tapote son pénis du doigt en lui faisant un clin d'oeil. "Hey, c'est bon mon gars, y'a mon copain qui m'attend tu sais." Et blam, il éjacule à nouveau bien évidemment, mais avec une violence qui manque de peu de le faire tomber à terre.

Le maître d'hôtel. Je le sens moyen celui là. Il m'accompagne à la table.

"Votre superbe compagnion est juste là. Il nous a prévenus que c'était un évènement spécial aujourd'hui, et je ferai tout mon possible pour vous satisfaire. C'est un grand honneur de servir l'homme le plus viril et puissant de la création et son ami. Puis-je ajouter," puis il n'ajoute rien du tout, en se retournant il voit que mon torse est strié de partout et couvert de veines, que mes bras sont devenus encore plus gros, mes injections chéries font leur boulot. Vive les stéroîdes ! Vive les PUTAIN DE STEROIDES !

En approchant d'Erwan je mets un pied à terre et je lève mes bras à l'horizontale pour offrir à mon ange une magnifique bandaison des mes biceps surboostés.

" Pardonne mon retard je t'en prie mon amour"

Il se lève et on se roule une pelle magistrale pendant plusieurs minutes. Ma voix tonne.

" Pour me faire pardonner je te promets que cette nuit plus que jamais je vais t'inonder de plaisir musculaire et sexuel, j'ai fait une réserve de stéroides ultrapuissants, j'ai commencé à les prendre déjà, j'ai une montagne de cialis, tu vas pouvoir baiser mes muscles plus intensément que jamais, plus gros que jamais, je te garantis au moins 30 éjaculations, parce que je t'aime mon amour, et grâce à mes muscles surhumains je veux faire de toi l'homme le plus sexuellement épanouï de l'univers, te faire connaître un degré d'extase comme personne n'en a jamis connu. Bon anniversaire"

Les gens se sont mis... à... applaudir.

"Viens t'assoir, mon surhomme." qu'il me dit. Et pourquoi anniversaire ?- tu as parlé dun évènement spécial, ça m'a donné une idée."
Le gens se sont mis à se succéder pour me prendre en photo, tater mes muscles, s'agenouiller devant moi pour certains (ça arrive), parfois même en se caressant l'entrejambe sans grand souçi de discretion.

Erwann se prend sérieusement au jeu : "Bien, je comprends que le spectacle d'un géant aussi supernaturellement ultra puissant, dont les muscles sont absurdement hypertrophiés au delà de l'extrème au point que son physique n'a plus rien humain, je comprends que cela vous attire, vous fascine, vous révulse, mais ce monstre c'est l'homme que j'aime, peut-on avoir enfin un moment tranquille tous les deux ?"

Ca l'a fait. Bien, le maître d'hôtel passe prendre la commande.

Il ne peut pas s'empêcher de me mettre la main sur l'épaule, de tater ici et là. Encore une fois, Erwan le remet en place sèchement. J'aime bien que mon copain prenne ma défense et me protège ! Héhé.

Non Erwan mon coeur, évite le poisson. C'est comme ça. Le parmentier de canard a l'air très bien. Oui mon coeur.

Du coup j'ai un peu de peine pour le lascar, et en allant aux toilettes (trois numéros de téléphone balancés dans ma cabine, ben voyons. Et un type qui se branle en pleurant pendant que je me lave les mains) - je coince le maître d'hôtel dans un coin. Je veux faire tout ce que je veux. Je me mets d'accord avec lui sur certains points. Il voulait pinailler un peu mais une fois que j'ai mis sa tête entre mes pecs il était d'accord sur l'ensemble. Bien. Je suis de bonne humeur je lui ai planté la face dans mes biceps gratos.

Après des entrées correctes, durant lesquelles j'ai pu savourer - comme la totalité de l'assistance - l'évolution de mes muscles jusqu'au conditionnement parfait, mes merveilleuses, formidables injections d'hormones génétiquements perfectionnées et de stéroïdes hyper concentrés, réalisant le miracle de rendre mes muscles pourtant déjà d'une taille et d'un volume absolument délirants, encore plus gonflés, encore plus énormes, encore plus durs, une symphonie de striations et de veines recouvrant mon immense amalgame de muscles turgescents, protubérants, surabondants - et malgré la répugnante absurdité de toute cette débauche inhumaine de muscles empilés sur toujours plus de muscles d'une profusion absolument révulsante, étrangement, ces horreurs formaient une harmonie inexplicable qui en faisait la vision la plus magnifique et la plus sublime qui ait jamais existé.

Toute l'assistance, et le chanceux Erwan en tout premier lieu, s'émerveillait du spectacle grandiose que Frank Lefort offrait de par sa simple présence, et l'absolue splendeur de sa surnaturelle musculature. Un Dieu était parmi eux. Peut-être le seul et unique Dieu qui ait jamais existé. Ils étaient tous dans un état d'extase admirative. Si Frank avait voulu créer une religion, ou un culte, il n'avait qu'à claquer des doigts. Comme à chacune de ses apparitions d'ailleurs. Ca lui passait au dessus de la tête.

"François ?

- Oui maîtr-euh monsieur

- M'autorisez-vous à ce que je me mette torse-nu ? J'aime tellement exposer mon torse.

- Tout ce que vous voudrez, monsieur.

- Bien"

Paf contraction des pecs le débardeur explose, parfait. Ah, la salle applaudit encore.

François amène nos plats.

" Dites-moi François, il n'est pas trop chaud le parmentier d'Erwan, n'est-ce pas ?

- Il est comme vous l'avez demandé monsieur.

- Bien. Mon amoureux aimerait déguster son plat sur mon torse. Pouvez-vous étaler ce parmentier sur mes pectoraux, François ?

- Avec grand honneur monsieur.

- Bien, François. Mets-en un maximum dans la crevasse entre mes deux gros pecs François. Ca va François ? Tu vas attendre d'être à l'office pour jouir, hein François?

- Oui, je..."

Erwan me regarde halluciné.

"Viens mon ange. Assieds-tiu sur mes genoux. Le plat de résistance est servi."

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C'est dégeulasse, mais qu'est-ce que c'est bon.

J'ai fait le tour de la table, il m'a aidé à me mettre à califourchon sur ses cuisses, et l'air de rien, j'ai commencé par lécher ce qui débordait en surface, pui j'ai plongé la tête entre ses pecs pour dévorer l'excellent parmentier de canard, que le goût de sa sueur transformait en le plat le plus rare, et le plus exquis au monde.

Clairement Frank voulait se donner en spectacle, et quel spectacle, il faisait ça aussi pour me donner du bonheur, et quel bonheur, alors je cherchai un truc à dire pour y participer.

"Ah mon amour, tu me combles à chaque instant d'un plaisir infini, et à chaque instant tu arrives à te surpasser. Accorde-moi une pause, je t'en prie."

Ce n'était pas grand chose, mais ça a dû lui plaire, au jugé de l'altitude que je commençais à prendre. Son chibre me soulevait, petit à petit, et mon visage arriva au dessus de ses pectoraux, il essuya mon visage avec une serviette pour m'embrasser goulûment, en prenant garde à se pencher suffisemment pour ne pas salir ma veste.

"Tu as raison" me dit-il, me posant au sol d'une main tout en se levant. "Reprends ton souffle, je vais aller nettoyer mon poitrail, on va se prendre un petit dessert et on va se rentrer"

Sur le moment je n'avais pas saisi toutes les finesses de cette simple phrase.

Alors que ma montagne de muscles s'éloignait, un François très émotif finit de me débarbouiller. "Cette chance que vous avez...Vous faites un si beau couple... Il est bien plus imposant que tout ce que j'avais pu imaginer... Quel honneur d'avoir pu le rencontrer... Vous faîtes bien des envieux..."

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Tout se déroulait à la perfection. J'arrive en cuisine.

"Messieurs, merci pour cet excellent dîner. Je crois que vous êtes au courant de ce qui va suivre."

Je pose un genou à terre, bombe mon torse nu, et lève mes bras afin de développer un double biceps.

"Faites vite je vous prie. Cependant vous êtes tous libres de venir toucher et caresser mes muscles."

Je n'ai pas eu à le dire deux fois. La mise en place n'a pris que quelques minutes mais durant ce temps je crois que tous les membre du personnel ont eu l'occasion, avec plus ou moins d'insistance, et plus ou moins de décence, faire l'expérience du contact tactile avec mon corps.Ah, ils étaient tellement adorables pour la plupart. Surtout le cuistot là, assez grand, un peu dégarni, taillé au couteau, très mince mais de bonnes épaules, probablement beacoup de natation durant son adolescence.Je parierais que c'est le second du chefs, toujours très affairé,et semblant laisser à son équipe la chance de venir à ma rencontre, tout en pestant que le service n'allait pas se faire tout seul, et saisissant la moindre occasion de me lfaire un clin d'oeil chaque fois que nos regards se croisaient, avec une parfaite assurance en la magie de son regard de braise et de son sourire éclatant, un véritable alpha - à sa mesure - fait pour diriger la briguade, un air aussi chaleureux que menacant, qui forçait a sympathie tout en vous gravant "don't fuck up with me" au fond de la rétine.

Viens là mon gars.

"Eh toi, oui toi. C'est toi qui a envoyé le parmentier de mon homme, il y a genre une demi-heure?

- et j'ai plein d'autres choses à envoyer on est en plein service je pense que vous avez eu ce que vous voulliez monsieur, s'il vou plaît dégagez de la cuisine vous me bloquez le passe on ne peut plus travailler bordel, les gens attendent vous allez nous mettre dans le jus.

- Je vais y aller...

- Mais oui allez-y, vous mettez la boutique sens dessus-dessous juste parce que vous avez les muscles de la taille d'un semi remorque vous êtes bien sympathique," et tout le long faisant mine de s'énerver il me sortait le grand jeu avec l'effet de sourcil qui double l'érotisme de son regard, le sourire en coin qui déclenche la fossette qui tue alors que sa main droite vient gratter les poils de son torse qui lui dépassent du col en écartant son tour de cou, à l'ombre de sa pomme d'adam proéminente." Et oui d'accord c'est vrai vous êtes un athlète extraordinaire,vous êtes de loin l'homme qui a le physique le plus impressionnant au monde, mais..."

Je me tourne vers le pâtissier juste à ma droite qui vérifie un détail,

"Il s'appelle comment le marseillais ?

- Jean-luc, monsieur."

Bah voilà.

"...moi, vous comprenez...

- Jean-luc?

- Oui...?

- Ta gueule?"

Ah devant la brigade ça fait mal.

" Je voulais juste te remercier pour ce dîner qui était à la perfection, e je voulais te prendre dans mes bras pour t'exprimer ma gratitude, mais là je ne peux pas trop, mais si tu veux tout de même venir m'embrasser, je disparais la seconde suivante."

Il devient tout rouge, et la brigade s'en mêle (Jean, luc ! Jean, luc !) alors il court jusqu'à moi et étreint tout ce qu'il peut de mes pectoraux, le sourire jusqu'aux oreilles, et pose son visage dans mon cou. Je lui chuchotte "Change rien, mec, tu dégoulines de sexe, et pense bien à parader dans les vestiaires chaque soir en exposant ton torse velu à tes stagiaires, ton sourire d'escroc, un petit clin d'oeil et non seulement ils oublieront les misères que tu leur a fait subir pendant la journée mais en plus ils auront de quoi se branler copieusement chaque soir.

Il éclate de rire, me colle un smack en bon gros dominant (il a tout compris ce mec) et retourne trotter à son poste avec une érection spectaculaire qu'il n'a aucune intention de dissimuer, et quand bien même ce ne serait pas évident.

J'aurais bien remercié le chef aussi mais tout le long il est resté enfermé dans son aquarium, surveillant fièvrement la scène.en se croyant planqué derrière son écran.

Jean luc me regarde depuis son poste, et me déclare alors

"On envoie la cinq deux filets un saignant un à point sole meunière pommes vapeur cassolette de veau"

OUI, CHEF!

"La 17 deux Saint-Jacques une mousse, une frites enfant, à suivre deux plats du jour on y va"

.OUI, CHEF

Alors on ferme la cuine on arrête tout, Mr Martin n'a oas exprimé le désir de se plier aux attentes de la table 17, Nous allons entamer un colloque,au cours duquel....

PARDON CHEF, OUI CHEF, DEUX PLATS DU JOUR A SUIVRE

"ET ON ME DEBARRASSE LE PLANCHER LES GENS QUI N'ONT RIEN A FOUTRE ICI PARCE QUE MOI..." et je n'entends pas la suite, je me suis déjà remis debout et les serveurs me tiennent la porte des cuisines en route vers ma table, auprès de laquelle ils s'alignent.

Et j'arrive, fier comme un pape, ou comme un Dieu devrais-je dire plutôt, les bras haut dressés, et arborant les plus magnifiques biceps qu'aucun homma n'ait jamais possédé, de par l'immensité volume d'une complètement délirant bien évidemment, mais également du fait de leur surpuissance qui ne semble pas avoir de limites, réduisant au ridicule les performances atteintes par toute forme de vie connue.  La semaine dernière encore, pour le magazine "Ultra Roided Extreme Bodybuiling Mega Freaks" j'ai soulevé 9 tonnes avec chacun de mes bras. Juste à la force de mes biceps !

Et justement, mes si beaux biceps sont bien entendu contractés, et j'avance solennelement en maintenant la pose dite du double biceps, lentement, histoire de ne pas tout faire foirer. Une fois de plus, les applaudissements fusent dans la salle, et mon beau gosse tourne la tête vers moi.

 

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  • 4 weeks later...

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Là encore, c'est n'importe quoi !

Comme s'il ne s'était pas assez donné en spectacle, Je vois Frank évoluer dans la salle, sous les applaudissements de l'assistance, le torse toujours entièrement nu évidemment, mais cette fois en brandissant ses biceps, superbement bandés, les énormes masses musculaires trônant sur chacun de ses bras gonflées et contractées, aux multiples sommités pointées vers le ciel, et là dessus, des bougies.

Les serveurs entonnent l'air du bon anniversaire sitôt repris par la foule.

Il s'avance devant moi, pose un genou à terre et son visage apparaît au delà de ses pactoraux.Il est rayonnant.

Je dois bien admettre que son visage n'est pas très gracieux. Honnêtement, il rentre dans la catégorie "moche", même, à ce niveau là. Oh j'adore son énorme mâchoire disproportionnée, son énorme cou et ses trapèzes absurdement surdéveloppés. Mais à part ça, clairement... Jamais un type avec cette gueule là n'aurait pû rêver de séduire un homme aussi beau que moi. Ce n'est pas pour me vanter, c'est simplement réaliste, j'ai vite compris, dès mon enfance, qu'en ce qui concerne la beauté j'étais tout en haut du panier. Et avec l'adolescence, mes traits sont devenus plus virils, le bleu de mes yeux est devenu encore plus profond, et rapidement l'attrait et le désir, voire même l'amour fou, que la vue de mon visage déclenchait chez quasiment toute personne que je croisais, devenait de plus en plus compliqué à gérer.

Le nombre de types qui m'ont fait des déclarations d'amour est incalculable. Des gars avec la gueule de Frank, je ne leur adressais même pas la parole.
Mais mon Frank m'a carrément rendu gay. Oui c'et sûr qu'un l'approchant je lui ai fait un peu de charme, ça devait être sous jaçant en moi.
En tout cas avec sa titanesque musculature, mon géant n'a eu qu'à claquer des doigts pour me posséder. Oui, je suis devenu sa chose, son objet, son jouet, et bon sang que j'adorais ça.

Clairement, agenouillé devant moi, il la voulait ma belle gueule. Et c'est avec honneur et joie que je lui livrai ma bouche et nos langues s'étraignirent sensuellement.

Quoi, je serais superficiel, parce que je serais tombé amoureux de cet homme presque instantanément, uniquement en raison de son physique d'une puissance et d'une virilité absolue, de son superbe corps de géant complétement saturé, bardé, blindé, explosant, dégoulinant de toutes ces centaines de kilos de gros muscles?

"A quoi tu penses ?

- A tes gros muscles.

- Tu les aimes mes gros muscles ?

- Plus que tout au monde.

- Merci mon bel ange.

- Je les vénérais sur internet, et dans ces magazines obscurs qui ne parlent que de toi,  ces magazines sur le bodybuilding ultime, l'hypertrophie musculaire poussée au comble de l'extrême le plus grotesque et le plus absolu; j'étais à la fois fasciné par l'absurdité ridicule de toute cette débauche de muscles, où l'on te voit page après page t'injecter des seringues énormes remplies de stéroides expérimentaux dont tu abreuves tes muscles par dizaines de litres afin d'atteindre un niveau de monstruosité musculaire toujours plus inhumain, et à la fois j'étais dégoûté, révulsé par ce spectacle immonde, ce mutant ayant vaguement forme humaine et avide d'avoir toujours et toujours plus de muscle encore et encore et toujours plus de muscle, alors qu'il est déjà un monstre, une chose informe, mais mois après mois ces magazines vénéraient toujours davantage leur Dieu, leur idole qui chaque mois affichait toujours plus de son atroce et ahurissante surabondance musculaire

- Arrête, s'il te plaît, je...

- Et soudain je t'ai vu devant moi et j'ai compris ce qu'était la virilité absolue dans toute sa perfection, j'ai compris que rien au monde ne pouvait être plus beau que le Dieu que j'avais sous mes yeux, Frank Lefort, le surhomme, le super héros, la légende, le miracle, le maître de l'humanité, et j'ai décidé de me jeter à tes pieds, et de faire ce que toute personne sensée devrait faire en ta présence, me mettre à ta disposition et respecter ton bon vouloir.

- Arf, enfoiré, tu m'as fait jouir une troisième fois... Ah je t'aime mon Erwan...

- Je t'aime, je te vénère, et je te suis infiniment reconnaissant pour chaque divine seconde où tu m'accorde ta présence.

- Souffle tes bougies mon coeur je vais finir par me cramer et ils ne vont jamais trouver le cinquième couplet...

Haha. Je souffle les bougies de mon non-anniversaire, et j'entâme à pleine bouche un des gâteaux que mon amour a fait confectionner aux sommets de chacun de ses biceps.

"Il y en a bien trop mon amour. Pourquoi ne pas partager avec nos amis...?

- Quelle bonne idée."

Et voilà mon Frank qui passe de table en table, sans que la bandaison de ses biceps ne semble lui causer la moindre fatigue, pour en proposer à tous.
Certains saisissent une bouchée un peu mal à l'aise, alors que d'autres y vont franco, saisissant l'opportunité, l'air de rien, pour faire entrer leur bouche en contact avec les plantureux biceps de la légende du bodybuilding, qui se prêtait volontiers à l'exercice.

Comme je m'y attendais, il a gardé pour la fin le petit gars tout seul à une table là-bas. Une caricature de nerd. Petite vingtaine, grosses binocles, petit et maigre, et en y regardant bien... oui. Il a une tache à l'entrejalbe qui descend presque jusqu'à son genou.

Frank s'approche tout doucement. Le gars tremble comme une feuille, en panique. Je les vois parler calmement, vite fait, et le gars prend une fourchette pour tenter de saisir le morceau restant.

Et là...

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Oh il est mignon ce petit gars, c'est clairement le plus ému de me rencontrer. Il me fait quoi avec sa fourchette.

"Et attention gamin, tu vas me blesser avec ton truc."

Gros clin d'oeil.

"Allez fais pas ton timide..."

Je ramène mon autre bras désormais libre, et saisis le gars derrière la tête, que je pousse délicatement contre mon biceps où trône la part restante.

"Ouais, régale-toi mon gars. Comment tu t'appelles?

- Hervé...

- Fais-toi plaisir Hervé." Il est pris de petites convulsions... Ah, vu l'état de son pantalon c'est la suite d'une longue série. 'Régale-toi, prends ton temps, Il faut bien nettoyer mon biceps s'il te plaît. Tu veux bien ?

- Je, euh... Oui, monsieur"

Je prends la chaise en face et je m'assois à côté de lui.

" Ah, merci Hervé, c'est vraiment très gentil à toi. Passe bien dans les séparations entre les muscles s'il te plaît. Aaaah génial. Mais tu es vraiment doué pour lêcher des gros biceps,tu savais ça ? Hahaha. Attends, je vais contracter un peu mes biceps, comme ça ça va étirer la peau ce sera plus facile pour toi."

Il se met à pleurer, c'était couru.

"Hervé ? Merci beaucoup d'avoir lêché les biceps, c'était vraiment très sympa de ta part. Je vais laisser mon chéri nettoyer l'autre bras Il doit s'impatienter déjà.... Je vais y aller. Ecoute une chose. Tu es gay Hervé? Tu n'en étais peut-être pas sûr mais je peux te dire qu'à partir de maintenant tu l'es irrémédiablement. Il faut que j'y aille.... arrête de pleurer... Tu sais quoi, tu as un stylo ? Je te note mon numéro là. Si à des moments tu ne vas pas bien, penses à mes muscles, et si ça ne va vraiment pas, passe-moi un coup de fil. N'en abuses pas OK? Bonne soirée."

Je retourne voir mon amoureux, toujours aussi magnifique. Pour me faire pardonner d'avoiir été un peu long je remets nos langues en communion pendant quelques minutes.

"Dis-moi, mon bébé, tu veux lécher mon biceps gauche il reste du gâteau?

-Je suis un peu écoeuré, là. Si on y allait?

-OK boss - François?

- Oui monsieur?

- Tu veux bien prendre une lingette ou quelque chose pour nettoyer mon biceps s'il te plaît?

- Avec joie monsieur. J'arrive immédiatement."

Il revient avec une grosse éponge neuve et s'affaire.

"Oooh, monsieur...

- Oui, qu'est-ce qu'il y a mon petit François ?

- C'est que vos biceps... ils sont tellement gigantesques monsieur !

- Ah ça mon François tu peux le dire.140 centimètres de tour de bras mon ami. Les plus titanesques biceps de l'histoire de l'humanité, presque deux fois plus gros que le record mondial précédent ! Le poids de chacun de mes biceps est estimé à 70 kg. Tiens je vais le faire rouler pour toi.

- Oh monsieur c'est absolument incroyable ! Toute cette masse qui bondit, se dresse, se gonfle, prend des dimensions délirantes tout en devenant dure comme l'acier, au moindre de vos désirs, quelle puissance, quel pouvoir ! Et quel magnifique spectacle ! Ce n'est décidément pas une légende, monsieur est effectivement un surhomme, un être infiniment supérieur à nous autres pauvres humains.

- C'est très gentil François.Je suis content que tu réalises le fabuleux privilège que je t'octroie en te laissant caresser et malaxer mes titanesques et sublimissimes gros muscles. Des millions d'hommes seraient prêts à tuer pour approcher la splendeur de ma suprême musculature surpuissante et hyperdéveloppée au delà des fantasmes les plus extrêmes. Jai accordé ce soir, à tout le monde ici présent, des plaisirs infinis dans ma grande bonté.

- C'est bien vrai monsieur, la magnificence de votre musculature est au delà du divin, aucun Dieu n'a jamais été aussi puissant et majestueux, je vous vénère au plus haut point monsieur, cette soirée m'a transformé et je serai votre disciple à jamais.

- Très bien. Combien on vous doit ?

- Mais absolument rien voyons monsieur, nous vous sommes tous redevables à l'infini, et je prierai chaque jour pour votre retour."

D'un geste vif j'écarte les côtés de son pantalon pour faire sauter sa braguette. Son pauvre pénis est enfin libéré, je me lève de façon à ce que personne dans ne s'aperçoive de la situation.

"Je vais te baptiser mon petit François."

Je saisis son entrejambe d'une main pour le soulever à hauteur de mon regard. Mes pectauraux engloutissent son chibre et discètement je joue de mes fibre musculaires pour le masturber.

"Comme ça je te dis au r... ah ça y est?! Ah bon."

Je le repose. Il disparait.

Erwan n'en a pas raté une miette.

"Viens mon lapin. J'ai envie d'exposer mes muscles dans la rue avec toi à mes côtés."

Au revoir messieurs dames...

"Tiens il y a un quartier piéton pas loin il y a toujours plein de monde.

- Tu vas rester torse nu ?

- Oui pourquoi, tu veux que je me mette complètement à poil ?

- Haha, t'es bête.

- Oui mon coeur je veux me montrer avec toi tout en exposant la splendeur des muscles de mon torse surpuissant, et que tout un chacun sache que tu es mon compagnon. et assez parlé, on est arrivés regarde-moi tout ce monde."

 

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  • 4 weeks later...
Effectivement devant nous une rue remplie de touristes et de boutiques ouvertes tard le soir, et mon compagnon pose sa main sur mon épaule en me serrant contre lui, et je passe mon bras autour de sa taille, et notre équilibre établi, nous nous avançons.
 
Et bien entendu, l'effet escompté ne se fait pas attendre. Les regards de mépris, les mâchoires décrochées, et rapidement un atroupement se forme autour de nous. Et les gens demandent à être pris en photo avec Frank.
 
"Sil vous plaît' dit-il, "je voulais juste me promener avec mon pote, si je commence à faire des photos... ah, Erwan, qu'en dis-tu...
 
- Eh mon pote c'est pas grave, tu suscites l'admiration partout où on va, j'ai l'habitude, laisse ces gens prendre quelques photos, je peux bien comprendre qu'ils aient envie de t'approcher.
 
- Bien, bien."
 
Cela n'a pas duré si longtemps que ça, d'autant que Frank accélérait le mouvement et bientôt l'activité de la rue revint à la normale.
 
" Bon je vais dormir chez toi ce soir.
 
- Ce... c'est pas vraiment chez moi...
 
- Comment ça.
 
- J'ai pris une location avec des copains...
 
- C'est cool ça. T'as bien une place pour moi non ?
 
- C'est vrai que j'ai pris la grande chambre avec le grand lit...
 
- C'est parfait alors.
 
- ...
 
- Quoi ? Y'a ta copine aussi ?
 
- Non, non...
 
- Tu n'as pas envie que je reste auprès de toi lapin ?
 
- Bien sûr que si, bien sûr que si...
 
- Ca va être marrant. Assume-moi Erwan.
 
- Je... OK, je vais appeler pour prévenir."
 
...
 
" Oui, Jean-Claude ? Vous êtes rentrés à la maison déjà ?" ... " Moi je ne vais pas tarder" ... " Non ne m'attendez pas pour bouffer, moi c'est bon"... " Oui j'adore ça, et c'est adorable, merci beaucoup mon pote, mais là je sors de table, garde-moi une part je mangerai ça demain, promis"... "Non je suis désolé, je sais que tu m'avais prévenu mais j'ai zappé"... " Non, s'il te plaît Jean-Claude, pas maintenant, je te jure j'ai pas fait exprès"... " Mais bien sûr que si je t'aime beaucoup, ne le prends pas comme ça"... " Oui j'appelais pour vous dire que j'ai rencontré quelqu'un après que vous soyez partis de la plage, donc je ne vais pas rentrer tout seul, mais on dormira dans ma piaule ça ne dérangera pas."... "Qu'est ce qui te fait rire, mais non ce n'est pas ce que tu crois, juste"... Biiiip
 
" Ca a coupé, il a juste dit 'merde ça crame', il était en train de faire à bouffer.
- Oui, j'ai entendu. C'est loin ?
 
- Une bonne demi-heure je dirais.
 
- Tu veux que je te porte ?
 
- Non ça devrait aller.
 
- Embrasse-moi."
-------------------------
On approche de la maison en question, une villa, assez classe, juchée sur une petite colline. Je suis Erwan qui monte les marches qui mènent à la terrasse. Et j'entends " Alors Erwan, tu nous présente ta conquête ? Il aura pas fallu qu'on te laisse tout seul trois minutes et t'as emballé direct comme d'habitude ?"
J'aurais dû me douter qu'ils allaient penser qu'il avait levé une meuf, suite à sa conversation au téléphone.
 
" Mais non c'est pas ce que vous croyez, je suis... tombé par hasard avec un gars avec qui j'avais bossé en saison, et... comme il s'est embrouillé avec sa copine, je lui ai proposé de dormir ici..."
Ma sale gueule de raclure de chiotte commence à émerger derrière lui, et j'aperçois six lascars en train de manger dehors, dont les yeux deviennent de plus en plus exhorbités, dont les bouches deviennent de plus en plus béantes au fur et à mesure qu'apparaît la fantastique ampleur de ma stature, et une fois que mes deux mètres zéro sept de mâle alpha est offert à leur vue dans son intégralité, alors que mes Reebok en cinquante-deux et demi prennent place sur la terrasse, leur respiration s'arrête.
Je leur offre mon plus beau sourire.
" Les gars je vous présente mon pote Frank, Frank voici Damien, Hervé, Antoine, Pierre, Arnaud, et Jean-Claude."
Je leur serre cordialement la main, sans trop forcer, amusé intérieurement par leurs petites mains de gamin perdues dans ma grosse paluche puissante et calleuse.
A l'évidence, Damien, Antoine sont amoureux d'Erwan, et Jean-Claude est fou amoureux de lui. Très certainement, les trois autres sont eux aussi admiratifs et fascinés par sa beauté. Arnaud quant à lui est de loin le moins insensible à l'éblouissant spectacle de mon extrême hypertrophie musculaire.
 
Je me postai en arrière, au garde à vous, les mains jointes devant moi, attendant poliment qu'Erwan ait fini de deviser avec ses camarades.

 

 
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  • 2 weeks later...
Evidemment qu'ils pensaient que j'avais ramené une gonzesse à niquer, partout où je vais avec des potes, je me démerde toujours pour embarquer la bonnasse de service.
Du coup j'ai balbutié l'excuse comme quoi Frank était une connaissance que je dépannais, et là j'ai vu leurs visages se décomposer en voyant l'immense mastodonte apparaître derrière moi. Ses pieds de géant (mais il chausse du combien ?!?) firent un bruit sourd en se posant sur la terrasse. Je les présentai rapidement, et Frank s'avança pour les saluer.
 
Perdu que j'étais depuis des heures, à fixer cet homme devenu le centre de mon univers depuis l'instant où je l'avais aperçu au loin sur la plage, j'en avais presque oublié à quel point Frank était colossal. Le voir dans cet environnement, s'approcher de mes amis, me causa à nouveau le choc et la surexcitation que m'avait suscité le moment où j'avais enfin osé venir à lui pour l'aborder.
Jaillissant de ses baskets ses mollets explosaient, puis son immense short flottait autour de ses genoux, mais à peine plus haut ses quadriceps mettaient le tissu à rude épreuve, avant que ses puissants fessiers, et son imposant appareil génital, s'en chargent. Le short était noué autour de sa taille, avec moulte replis tant sa taille était fine en comparaison, mais à part le bas et le haut du vêtement, sur une douzaine de centimètres,tout le reste du short glorifiait ses protubérences sensuelles.
 
Son t-shirt était une simple excuse pour satisfaire l'exhibitionisme qu'il aimait faire de son corps. Fort justement d'ailleurs. Une seconde peau. ce n'était pas un débardeur, mais il était dépourvu de manches toutefois, permettant l'étélage des muscles de la totalité ses gros bras.
 
Le voir serrer la main de mes camarades était un moment fort. Tous semblaient absolument ravis, à part peut-être Jean-Claude (je le soupçonne d'avoir un peu le béghin pour moi), et aussi Arnaud a eu un comportement bizarre - il tremblait, bégayait, et je crois même avoir vu un filet de bave couler du coin de sa bouche avant qu'il ne se lève de table précipitemment pour retourner dans la maison.
Frank se posta derrière moi, avec une posture de garde du corps, et je fis la conversation un peu avec mes amis. La prétendue vieille amitié me liant avec Frank revint rapidement sur le tapis, et je m'enfonçai un peu plus dans mon mensonge, à tel point que je me tournai vers Frank pour un peu de renfort. Il s'y prêta volotiers.
 
" Voyez-vous, nous travailllions dans des service différents,mais nous étions amenés à nous croiser, et la première fois que j'ai vu le visage d'Erwan, je m'en souviens parfaitement, j'ai su instantanément qu'il y avait une connexion incroyable entre nous. Nous l'avons senti l'un comme l'autre. Et nous sommes devenus inséparables. Tu te souviens Erwan, les collèges passaient leur temps à nous vanner, à nous appeler 'les amoureux', 'le petit couple' des trucs comme ça. Hahaha !
- Bien sûr je me souviens.
- Et bêtement on s'était perdus de vue, c'était il y a quoi, deux ans ? Revoir Erwan sur cette plage par hasard ça m'a fait un vrai choc. Comme si rien n'avait changé, ou presque."
Pierre, très à l'aise, prit la parole.
" Qu'est-ce-qui a changé, alors ?
"- Hahaha," reprit Frank, "Mon petit Erwan est un homme maintenant, il n'a plus son air de gamin, et évidemment il s'est démerdé pour être encore plus beau gosse qu'avant ! Rougis pas mon lapin, c'est vrai, merde, même tes yeux sont d'un bleu encore plus pur qu'à l'époque ! Et moi...
- Et et et et heu..." c'est Arnaud qui essaie de parler à ce moment là, bien qu'il ait l'air toujours aussi tétanisé par la présence de Frank. " Et heu vous... monsieur ?
- Oh moi ? J'étais déjà un grand nigaud bodybuildé, mais depuis" et là il tourne la tête vers moi avec le sourire jusqu'aux oreilles, dresse ses bras à l'horizontale qu'il plie pour faire bander ses biceps. "J'ai pris une bonne tonne de muscles en plus !"
Ses poings viennent frapper le flanc de ses biceps qui se transforment en acier tout en se dressant vers le ciel. Les spectateurs applaudissent.
Riant à gorge déployée, Frank fit redescendre l'un de ses bras, gardant l'autre biceps toujours plus contracté et bandé dans tout sa splendeur, le passa derrière ma taille et me serra contre lui, et me soulevant légèrement du sol, pencha la tête pour appliquer un puissant baiser sur ma bouche.
" Ce cher Erwan ! Comment tu m'as manqué ! J'ai tant pensé à toi. Quel bonheur de te retrouver !" Et clac, il baise ma bouche à nouveau, un poil plus longuement cette fois. "Je t'aime tellement, on ne séparera plus désormais."
Je me sens obligé de dire un truc. Mes potes sont manifestement subjugués par la... situation.
" Moi aussi mon Frank, je ne t'ai jamais oublié. J'ai cru rêver quand je t'ai vu allongé sur la plage. Je n'arrivais pas à croire que c'était toi, à cause de...
- De quoi ?
- ...de toute cette masse musculaire que tu as développé depuis ! Merde, tu étais déjà le mec le plus baraqué que j'aie jamais rencontré, mais là...
- Je suis devenu bodybuilder professionnel depuis ! Je suis Mr Olympia depuis cette année ! Et officiellement le bodybuilder le plus massif, le plus musclé, et le plus puissant ayant jamais existé !
- Bah merde !" ça c'était Pierre encore.
" Argh... grrhharg." là c'était Arnaud.
" Bon c'est pas tout ça, Erwan si tu me montrais ma chambre ? J'ai bien envie de me poser."
Je me suis dit, 'le chat est sorti du sac' de toute façon, autant enfoncer le clou.
" Bah en fait mon Frank, j'ai une grande chambre et un grand lit, je me disais que tu pourrais peut-être dormir avec moi ?
- Mais avec joie mon ange, en plus je n'ai jamais eu la chance de dormir auprès de toi, c'est absolument merveilleux." Il plie les genoux, en me tenant les mains. Un smack. Puis deux. Puis trois. " Veiller sur ton sommeil. M'endormir en te serrant dans mes bras. Voir tes yeux s'ouvrir au réveil. C'est trop beau pour être vrai. Je dois être en train de rêver.
- Je me disais la même chose. Retrouver le gars le plus extraordinaire que j'aie rencontré dans ma vie, plus qu'un frère, sur une plage à la con, et qui serait devenu le bodybuilder le plus monstrueusement gonflé de muscles ultra puissants de toute la création, si atrocement massif et musculeux qu'il en défie toutes les lois de la science et la définition même de la virilité dans ce qu'elle a de plus sexuellement sublime ?
- Je t'aime et j'aime ta suprême beauté mon amour
- Je t'aime et j'aime chaque centimètre carré de ton corps surhumain."
Et là on se roule une pelle monumentale. Devant tout le monde. Je me retrouve bien obligé d'assumer publiquement mon asservissement, l'irresistible et inconditionnelle soumission que cet homme provoquait en moi.
" Je vais me poser un peu dans le lit. C'est par où la chambre ?
- La porte de gauche dans le salon qui est sur la droite. Je viens te rejoindre."
Après une dure luttle pour passer, de profil, la porte-fenêtre donnant sur la cuisine,  Frank prit la direction que je lui avait indiquée.
Et je me retrouvai devant mes amis estomaqués.
" Alors Erwan tu es... Tu es gay ?"
Moi qui me tapait plus de gonzesses que toute ma promo réunie, ça leur faisait un peu bizarre.
" Bah j'ai une relation très fusionnelle avec mon Frank, et il est très affectueux, alors c'est vrai qu'il y a beaucoup de tendresse entre nous." Un peu d'humour que diable. " Et qui pourrait résister à ma sublime belle gueule de super beau gosse ?" Souriais-je.
" Ah c'est clair qu'il a craqué pour toi grave, mec" reprit Pierre. " Mais ce tye... ce type est un putain de monstre ! Il fait au moins deux mètres de haut, et il a des centaines de kilos de muscle qui débordent de partout. Je n'arrive toujours pas à croire ce que j'ai vu. Jamais je n'aurais pu imaginer qu'il était possible d'atteindre un niveau aussi hallucinant de développement musculaire. C'est un putain de mutant ! Moi il me fout les jetons grave.
- Mais non Pierre, Frank ne ferait pas de mal à une mouche et c'est le type le plus adorable que j'aie jamais rencontré.
 
- Oh oui il a vraiment l'air super cool ton copain," intervint Arnaud, qui reprenait ses esprits " moi je l'ai trouvé génial, il est formidable ce type ! Merci Erwan de nous l'avoir présenté, je kiffe trop de l'avoir avec nous ici, je suis trop content.'
Jean-Claude ne l'entendait pas de cette oreille.
" Moi ça m'a tout l'air d'être un gros connard prétentieux, il est suffisant, aggressif il se croit tout permis." Jean-claude serrait sa fourchette dans sa main au point de la tordre. "Je le déteste. C'est une merde." dit-il en se levant, et il partit furieusement de l'autre côté de la terrasse et descendit dans le jardin pour disparaître vers l'arrière de la maison.
" Oui, il exagère peut-être un peu" tempéra Antoine.
Me sentant responsable de la situation, et puis je l'aime bien Jean-Claude, même s'il peut être un peu collant parfois, alors je suis allé à sa suite et je l'ai trouvé adossé au mur de la remise, bras croisé, et en pleurs. Je m'approchai alors de lui, et mis mes mains sur ses coudes.
" Jean-Claude mon ami, pourquoi réagis-tu comme ça. Il n'y a rien de bien grave, si ?
- C'est vrai, j'ai surréagi, ton super pote est formidable, amusez-vous bien"
Je me rapprochai un peu plus près de lui.
 
" Regarde-moi Jean-Claude."
Ses yeux plongèrent dans les miens. C'était gagné. J'avais pris mon air le plus adorable possible, ma botte secrète, mon pouvoir magique. Une moue que j'avais appris à maîtriser depuis mon plus jeune âge, et qui m'avait toujours permis de me sortir de toutes les situations, et d'obtenir absolument tout ce que j'avais toujours voulu. Cela contituait à incliner mon visage dans un angle très précis, dans lequel il était non seulement particulièrement beau, mais qui mettait aussi grandement en valeur mon meilleur regard de chiot abattu, tout en faisant refléter judiceusement la lumière dans le bleu de mes yeux.
 
" Oh non, pas le Blue Steel !" Jean-Claude connaissait bien cette tactique, c'était le seul d'ailleurs à qui j'en avais confié le nom, mais il ne pouvait pas y résister, et je voyais déjà son sourire poindre au coins de ses lèvres.
Je passais alors à la phase II, dévoilant mon sourire éclatant tout aussi irrésistible. Il éclata de rire et tomba dans mes bras. Une fois qu'il m'eût serré bien fort, je pris sa tête entre mes mains, et, craignant tout de même d'y aller un peu fort, je me décidai à lui sortir le grand jeu.
Je plaquai mon nez contre le sien, de façon à  de que mes lèvres caressent les siennes en lui parlant.
" Mon JC, tu sais bien à quel point je t'apprécie," bla bla bla. Je le pris à nouveau dans mes bras et nous restèrent joue contre joue quelques instants.
 
S'ensuivit une longue déclaration d'amour de sa part à laquelle je ne m'attendais pas du tout. Je savais qu'il avait un faible pour moi et il m'avait maintes et maintes fois prouvé son attachement à mon égard, mais à ce point là j'étais surpris. Il m'aimait, à la folie, n'avait jamais aimé personne d'autre et n'aimerait jamais personne autant, n'avait jamais osé etc.
Je ne répondis pas, nous somme restés dans les bras l'un de l'autre encore une minutes ou deux, le temps que ses pleurs, qui avaient repris, s'arrêtent, nous nous mirent en marche vers l'avant de la maison, et alors que je prenais sa mais dans la mienne, je dis simplement
 
"Nous partageons quelque chose de très fort toi et moi."
Jean-Claude rentra directement à l'intérieur sans passer par la terrasse, gêné par les marques de larmes sur son visage. En arrivant sur la terrasse je vis que Frank était ressorti, il était avec mes amis, qui lui avaient installé l'un des robustes fauteils du jardin, mais maintenant il était simplement vétu d'un minuscule slip de bain. Peut-être l'un de ceux que les bodybuilders portent en compétition, ou pas beaucoup plus grand. Au début j'ai cru qu'il était nu.
 
Il était là, assis au milieu de tous ses gros muscles qui débordaient de tous côtés, et je me suis approché de la table pour me servir un verre tout en parlant à Damien, Pierre, Antoine et Hervé, les rassurant sur l'état de Jean-Claude et prenant le fil de leur conversation.
Frank lui était de l'autre côté, totalement accaparé par un Arnaud qui avait stratégiquement placé sa chaise (et sans doute le fauteuil de Frank aussi) de façon à isoler un tant soit peu le géant hyper musclé du reste du groupe et l'avoir pour lui tout seul.
 
Le crâne de Frank basculait en arrière lorsqu'il parlait, vu qu'affalé dans le fauteuil, l'ampleur et la densité de ses pectoraux l'empêchaient de baisser sa machoire, elle même particulièrement massive.
Et manifestement, ses dires exerçaient une fascination d'une rare intensité sur Arnaud. Arnaud, trépidant au bord de sa chaise, l'écoutait comme le messie, béat d'extase, alternant éclats de rire et clameurs de surprise à l'écoute de chaque déclaration. Lorsque son hilarité atteignait des sommets, il s'autorisait un tapotage impromptu du deltoide à sa portée, voire du biceps. Arnaud tenait entre ses mains un grand verre contenant un cocktail élaboré, mais je ne le voyais pas en boire. En fait, Frank lui faisait un signal de temps à autre, et alors Arnaud, promptement, précautionneusement, levait le calice et l'avançait de façon à en apposer la paille contre les lèvres de son merveilleux interlocuteur, pour qu'il s'en abreuve.
 
Plutôt beau gosse le Arnaud, d'ailleurs. Et prêt à tout pour charmer la colossale montagne de muscles devant qui il était dans l'adoration la plus totale. Il était manifestation en transe, dans un état second, complètement hypnotisé par le grandiose et incroyablement majestueux étalage de muscles que le bodybuilder offrait à sa vue, et ses yeux dévoraient goulûment, et avec une gourmandise non dissimulée, le merveilleux spectacle. Plus miraculeux encore, cet être supérieur, ce mâle qui domine l'humanité toute entière, cet unique phénomène qui ridiculise de par sa simple existence la race humaine toute entière ainsi que toute autre forme de vie, lui adressait la parole, le prenait en considération malgré son statut, était symathique envers lui, et lui laissait la vie sauve.
Clairement Arnaud se mettait à sa disposition et affichait sa volonté de le servir et de le vénérer comme un dieu. Et pour cause, Frank Lefort était le Dieu seul et unique, le Dieu du Muscle.
Finalement, Erwan se rapprocha du petit duo. Au moment où Frank disait : " Ne t'embête pas avec ce verre garçon, tu n'as qu'à écarter mes pectoraux le coincer au milieu ça fera l'affaire. Arnaud s'exécuta bien sûr. Lorsqu'il se rassit, on pouvait voir le grand verre bien calé dépassant du poitrail de Frank, ansi d'une élégante arabesque de bave.
Lassé, Frank orienta sa tête vers Erwan qui se tenait à ses côtés.
" Ah, revoilà le plus beau, tu m'as manqué mon Erwan.
- Mais tu as sympathisé avec Arnaud à ce que je vois.
- Oui, très gentil comme garçon.Viens t'assoir sur ma cuisse s'il te plaît."
Erwan s'exécuta avec plaisir. Le cocktail sentait l'alcool à plein nez. Arnaud avait certainement l'intention de saouler le Frank. Les quelques gorgées déjà bues lui avaient fait pas mal d'effet.
Frank mit son bras autour la taille d'Erwan, puis commenta
 
" Tu vois, Arnaud -  Arnaud, c'est ça, oui ? Donc tu vois Arnaud, le jour où j'ai rencontré Erwan, ça a changé ma vie. J'étais un grand dadais, je manquais de confiance en moi, malgré mon corps pas mal musclé à l'époque je lassais tout le monde me marcher dessus, personne ne m'aimait, ça me rendait encore plus con, et un jour Erwan est arrivé, et il m'a fasciné dès la première seconde. Tout jeune, mias déjà si sûr de lui, une aura qui attirait tout le monde vers lui et tout le monde l'aimait. Mais au lieu de me laisser dans mon coin, moi l'abruti de manutentionnaire mal léché, il est venu vers moi et il est devenu mon ami, me préférant à tous les autres gens et tous les cadres de la boîte. Il m'a apprivoisé, m'a appris à être quelqu'un, on était inséparables." Quelle imaginantion, se dit Erwan. "On a longtemps gardé contact après son stage - mes progrès en bodybuilding étaient devenus fulgurants grâce à lui - et du jour où j'ai perdu mon portable, le même jour où Erwan m'avait envoyé son nouveau numéro, j'ai été incapable de le retrouver, mais par la grâce du ciel nous sommes réunis à nouveau aujourd'hui.
- Oui, c'est vrai..." commença Arnaud, avant de savoir trop quoi dire, "... Erwan est un très bon ami, moi aussi il m'inspire beaucoup."
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[A ce moment exact, le temps s'est arrêté pour moi. L'espace d'un instant, je me retrouvais dans une bulle, prenant plus ou moins conscience de la situation. J'étais, actuellement, assis, ou à califourchon plutôt, sur une quantité de quadriceps absolument exubérante. Comme si je montais un énorme étalon. Avec mes orteils, je pouvais atteindre le sommet de ses mollets. Sous moi, je pouvais ressentir les globes musculaires latéraux chacun gros comme des jambons, parcourus de temps à autres par des vagues de contraction faisant déferler des émergences de fibres musculaires me caressant de leurs striations. La masse formée par la partie centrale de son quadriceps, le fémoral droit qui est chez lui, sur chacune de ses cuisses d'ailleurs, proverbialement proéminent, se forçait un passage pour se loger admirablement entre mes fesses. Ingénument, et sans que quiconque ne se doute de quoi que ce soit, Frank s'amusait à malaxer mon anus à l'aide de ce glorieux appendice, jouant de la maîtrise absolue qu'il possède sur chacun des muscles de son corps et dont lui seul a le secret.

Les pulsations de ses veines ajoutaient encore à mon extase sensorielle.

Sur ma frêle épaule, sa putain de grosse paluche était posée, et contre mon dos, de part et d'autre, je ressentais l'infinie puissance de son légendaire biceps.

La douce profondeur de sa voix parvenait à me faire vibrer malgré la formidable épaisseur de ses muscles.

J'étais encerclé, confiné, submergé par les centaines de kilos de masse musculaire de mon homme, le plus massif et le plus monumental bodybuilder de l'univers.

C'est incroyable, sidérant avec quelle vitesse je suis tombé fou amoureux de ce gros tas de gros muscles, ce mutant aux muscles tellement hypergonflés qu'il en est répugnant, obscène, atrocement difforme et sexuel.  Et je suis là, baignant littéralement dans les divinement délicieuses effluves émanant de ses muscles, ses gigantesques muscles suintant de la sueur la plus virile et la plus pure, l'ultime nectar du mâle surpuissant dans toute sa splendeur.

Mon sexe affichait une érection de tous les diables, et je n'en avais que faire.

Mon homme agrippa ma nuque pour porter ma bouche contre la sienne, et ma copieuse éjaculation se produisit avant même que sa langue eut le temps e me pénétrer.

Avec la tendresse de ses gestes et la bandaison de ses muscles, il parvint à prolonger mon orgasme durant plusieurs secondes.

Là il m'a embrassé à nouveau.]

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