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Supercrav

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C'est un peu n'importe quoi encore mais bon...

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Qu'est ce qu'il y a ? Tu n'es pas content que l'on passe l'après-midi ensemble?

 

- C'est pas ça...

 

- Depuis le temps que tu me reproches de prendre mes distances avec toi, alors que ce n'est pas vrai, j'aurais pensé que tu serais un peu plus joyeux que je passe un peu de temps avec toi.

 

- Oui, bien sûr je suis content de te voir, mais c'est que...

 

- Quoi ?

 

- Je n'ai pas envie de sortir.

 

- Sérieux ? Mais on ne vas tout de même pas rester enfermés chez tes parents toute la journée, regarde comme il fait beau dehors ! Allez, bouge-toi on y va.

 

- Mais justement...

 

- Eh mon pote, il faut que tu sortes un peu de temps en temps. Tu sais, rencontrer des gens, avoir une vie sociale...

 

- Oui je sais, toi tu connais plein de gens tu as plein d'amis.

 

- Je n'ai pas "plein" d'amis... enfin, j'en ai normalement, quoi... Mais tu pourrais en faire autant. C'est vrai que l'on se voit moins qu'avant, et tu restes mon meilleur ami, mais j'aime bien voir du monde, rencontrer des gens... Mais toi tu restes prostré dans ton coin. Fais un effort gars, on va aller se balader tu vas voir on va s'éclater.

 

- Oui, mais dehors...

 

- Quoi.

 

- Il fait super chaud.

 

- Et bien quoi, ce n'est pas bien grave, tant mieux, même.D'ailleurs je vais finir par attraper la crève avec cette clim ici...

 

- Mais je vais avoir chaud.

 

- Il ne fait pas si chaud que ça je t'assure, tu n'as qu'à enlever ce pull et te mettre en t-shirt comme moi, tu verras ça ira très bien.

 

- Mais je ne veux pas enlever mon pull.

 

- Ah. Pour quelle raison je te prie ?

 

- Il y a plein de gens dehors.

 

- Et c'est bien pour ça qu'il faut que l'on sorte aussi. C'est quoi le problème des gens dehors ? Ca t'arrive bien de sortir des fois.

 

- Oui mais si je suis en t-shirt, j'aurai les bras nus, et les gens... enfin je vais devoir les montrer.

 

- Quoi, tu ne veux pas que les gens voient tes bras ? C'est juste ça ? Alors là je suis sur le cul. Et parce que ?

 

- Parce que... Je ne...

 

- Hé Antoine. Parle-moi. Qu'est-ce qu'il y a.

 

- Je... Je ne suis pas beau.

 

- Oh Antoine, non ne pleure pas. Mais je... je ne comprends pas. Il faut que tu m'expliques.

 

- Mais il n'y a rien à expliquer, je suis moche je ne ressemble à rien un point c'est tout.

 

- Non mais Antoine, depuis des années, depuis que tu as quitté le lycée, tu passes ta vie à faire de la muscu dans la cave de tes parents, et maintenant tu vas me dire que tu n'es pas content de ton corps et que tu en as honte? Mais alors, à quoi bon avoir installé tout cet équipement là en-bas, pourquoi avoir soulevé toutes ces tonnes et ces tonnes de fonte pendant toutes ces années ?

 

- Justement, je voulais essayer de ressembler à quelque chose, mais je serai toujours aussi laid, je n'y arriverai jamais.

 

- D'accord. Ecoute moi Antoine, il faut que je te parle sérieusement.

 

- Oui ?

 

- Tu me fais confiance, Antoine, oui ? Tu es mon pote d'enfance, tu le sais.

 

- Oui Loïc, je te fais confiance.

 

- Alors écoute-moi bien Antoine, et regarde-moi. Antoine, tu as le corps d'un Dieu. Ton corps est superbe, et pour quiconque aimant le muscle, ton corps est sublime.

 

- Merci Loïc, c'est très gentil, mais...

 

- Je ne dis pas ça pour te faire plaisir ni pour te consoler, Antoine. C'est la vérité. Ton corps est une putain d'oeuvre d'art mon pote.

 

- Mais, comment tu peux dire ça, la dernière fois que tu m'as vu ça devait être à la piscine au collège.

 

- Et déjà t'étais gaulé mon gars. Alors que tu n'avais même pas commencé ton obsession pour la gonflette.

 

- A vrai dire, j'ai toujours été obsédé par le bodybuilding. Aussi loin que je puisse me souvenir. Et j'étais tellement hideux... oui, ça va peut-être un petit peu mieux maintenant, mais franchement...

 

- Tu me demandes comment je sais que ton corps est putain de magnifique ? Mais c'est évident mon pote. C'est l'évidence même. Parce que même sous ton pull c'est évident que tu débordes de muscles de partout. Parce que t'es large comme une putain d'armoire à glace. Parce que tes bras sont gros comme des jambons. On peut même voir la forme de tes abdos à travers ton pull.

 

- Vraiment ?

 

- Mais oui mon gars ! Dans cette ville tout le monde t'appelle Musclor. Pourtant tu ne sors pas beaucoup. Quand j'ai dit à mes potes que j'allais te voir aujourd'hui, ils m'ont tous sorti des vannes à la con.

 

- Pour se moquer de moi ?

 

- Mais non, à me demander si j'avais pris mon matériel d'escalade et mon GPS, si j'avais une bonne mutuelle pour les os broyés, des trucs comme ça.

 

- Je ne comprends pas.

 

- Des blagues sur le fait que ta musculature est tout bonnement colossale, mec ! Sérieusement, je pense avoir senti un poil de jalousie chez pas mal d'entre eux. Je t'assure, je pense qu'il y en a plus d'un qui aurait aimé être à ma place à passer la journée avec toi.

 

- Mais personne ne m'aime.

 

- Ne dis pas de conneries. Il y a même Greg qui a demandé s'il pouvait venir avec moi. Simon aussi, mais c'est surtout Greg qui a lourdement insisté.

 

- Greg ? Le Greg qui se moquait tout le temps de moi en primaire ?

 

- Celui-là même. Je n'étais pas vraiment surpris, il me parle de toi de temps en temps. Surtout une fois où il était complètement bourré à une soirée. Il m'a pris à part et m'a posé plein de questions sur toi, puis il a commencé à délirer, à me demander si j'imaginais ce que ça faisait d'être aussi puissamment musclé que toi, à se demander les sensations que ton immense force physique pouvait te procurer. Clairement le Greg a de l'admiration pour toi. Je pense même que si ça se trouve, secrètement, il a le béguin pour toi. Une fois j'étais posé avec lui et deux autres potes à la terrasse du café de la mairie, et tu es passé de l'autre côté de la place. C'est Didier qui t'a vu le premier, tu ne le connais pas, et il a dit 'c'est quoi ce monstre !' alors avec Greg on s'est retournés, et j'ai regardé la gueule de Greg à côté de moi, et clairement il avait la bouche bée et des étincelles dans les yeux.

 

- C'est incroyable.

 

- Mais c'est toi qui es incroyable mon Toto, je te jure, t'es un phénomène mon gars. Ne rougis pas comme ça... tu sais, tu n'en as peut-être pas l'impression, mais je suis fier d'être ton pote.

 

- Alors, pourquoi je ne te vois jamais, souvent tu ne me réponds pas...

 

- Oui, je suis toujours à droite à gauche...

 

- Jamais tu ne m'invites à des soirées ou des trucs comme ça.

 

- Bah, tu n'es pas très à l'aise avec les gens, déjà à l'époque si on allait à une fête ensemble, tu restais dans ton coin, tu ne parlais à personne... Et tu me collais un peu aux basques... Si j'allais voir des gens j'avais l'impression de t'abandonner, et si je restais avec toi je ne faisais que ça de la soirée. Ne m'en veux pas, mais voilà quoi, la teuf les sorties c'était pas trop pour toi.

 

- Oui, tout le contraire de toi... Toujours le mec le plus populaire, tout le monde t'adore, tout le monde veut être avec toi... Et puis, tu est tellement beau... Tu as toujours été le plus beau.

 

- ...

 

- Tu es toujours avec des nanas aussi...

 

- Antoine, regarde-moi dans les yeux. Je te demande de me faire confiance. Enlève-moi ce pull.

 

- Tu veux que... J'enlève mon pull ?

 

- S'il te plaît Antoine. Fais ça pour moi.

 

- OK...

 

- Oh... Oh putain de bordel de merde.

 

- Quoi ?

 

- Je savais bien que tu avais des bras énormes, mais les voir en vrai comme ça... Nom de Dieu.

 

- Qu'est-ce-qu'il y a ?

 

- Mais bon sang, toutes ces grosses boules, toutes ces striations, toutes ces veines... C'est... Wow, je n'ai jamais vu un truc pareil.

 

- Tu... Ca te...

 

- Non, c'est magnifique, vraiment. Je n'aurais jamais pensé qu'autant de muscle pourrait être ausi beau. S'il te plaît, Antoine, est-ce que je peux toucher tes biceps?

 

- Je... attends, je vais faire juste quelques pompes avant pour les faire gonfler encore plus.

 

- Ah ? Très bien.

 

- ... Hmmf... Humff... Voilà. Va-z-y Loïc, tu peux y aller.

 

- Oh mon Dieu... C'est un truc de fou... Je n'ai jamais ressenti un truc pareil. Palper ce gros tas de muscle comme ça... Mais il me faudrait combien de mains pour couvrir ton biceps, gars? Hahaha putain trop cool.

 

- Tu veux que je le contracte ?

 

- Ah merde, euh... Mais oui mon gars ! Fais-moi bander cet énorme biceps mon Toto ! Allez mon Toto ! Gonfle-moi ce OH ENCULÉ !

 

- Gnn... Là tu vois Loïc, je le contracte presque au maximum, le muscle n'est pas vraiment chaud mais je suis plutôt content il a atteint une belle taille.

 

- UNE BELLE TAILLE ? Mais putain de merde Antoine c'est un iceberg ton biceps ! J'hallucine complètement. Et puis c'est tellement dur ! C'est vraiment de l'acier ! Je ne m'étais pas préparé à ça, mais alors pas du tout. Je suis choqué mon gars, j'en crois pas mes yeux, j'en crois pas mes mains. Mais tu dois avoir les plus gros biceps au monde, je ne peux pas croire qu'il soit possible que des biceps puissent devenir encore plus gigantesques que ça !

 

- Il y a un gars qui s'appelle Franck Lefort qui les a plus gros que ça c'est sûr, après je ne sais pas.

 

- Eh mon gars je vois la fierté dans tes yeux et ça me fait tellement plaisir. Tu peux être fier mon copain, tu peux être grave fier, t'es une putain de montagne de muscles et tu es magnifique. Allez enlève-moi ce t-shirt, il y a tes gros pecs qui me narguent à se dresser sous mon nez depuis tout à l'heure.

 

- Je ne sais pas... Tu sais Loïc le pull c'était déjà un gros effort pour moi...

 

- Dis-moi Antoine, c'est la première fois pour toi que quelqu’un te caresse les muscles ?

 

- Oui Loïc. C'est la première fois.

 

- Et dis-moi Antoine, tu as aimé ça ?

 

- ... Oui Loïc. C'était très agréable. Et je suis très heureux que ça ait été toi.

 

- Et c'était un grand plaisir pour moi aussi, et un grand honneur. Plus qu'un plaisir, une révélation, un grand moment de bonheur. Antoine, je t'en prie, pourrais-tu avoir la bonté de bien vouloir m'offrir la chance de pouvoir admirer ton torse nu ? Regarde, je pose un genou à terre.

 

- Non, rassie-toi voyons...

 

- Attends, ça te mettrait plus à l'aise si j'enlevais mon t-shirt moi aussi ? Voilà c'est fait. Regarde la crevette que je suis comparé à ta fantastique musculature. Je suis ridicule, un rien du tout.

 

- Mais non Loïc, tu es très beau...

 

- Tout ce qui m'importe c'est que tu sois à l'aise et que tu te sentes bien.

 

- D'accord, Loïc... Un petit instant. Il faut que je... Gnnn... Et... Voilà.

 

- ...

 

- Loïc ? Ca va ?

 

- Mec, t'es un Dieu. T'es un surhomme. T'es un mutant. Un super héros. T'es mon héros en tout cas. Je peux...?

 

- Toucher ? Mais bien sûr Loïc va-z-y.

 

- Oh mon Dieu comment c'est lourd, comment c'est gros, et tellement dense, merde, on peut sentir la puissance qu'il y a dedans, putain, c'est vraiment une sensation extraordinaire... Je n'ai jamais ressenti un truc pareil. Et tu te rases le torse ?

 

- Non, je suis resté imberbe. Tiens, touche mes abdos aussi.

 

- Oui, tout de suite. Oh mazette. C'est des briques tes abdos la vache. et sur les côtés t'as des muscles de partout...

 

- Tiens, je te contracte mes pecs.

 

- Oh putain, j'ai failli me les prendre dans la gueule. Mais c'est tellement dur, c'est comme deux putains de rochers ! Et tellement épais, j'ai l'impression que je pourrais mettre tout mon avant bras entre les deux.

 

- Et bien essaie, là je les relâche.

 

- Blam. Les deux grosses masses qui retombent. Attends j'enfonce le bras... Oh putain c'est doux c'est chaud... Ah ça y est j'ai atteint le fond. C'est complètement dingue.

 

- Je vais les contracter un peu à nouveau, ne t'inquiète pas j'y vais doucement.

 

- Oui, ne vas pas me broyer le bras ! Comment c'est beau toutes ces striations qui se répandent sur la surface quand tu bandes ces deux gros tas de muscle. Oh stop, ça commence à serrer là tu me fais peur. Ouf merci, j'ai sauvé mon bras !

 

- Regarde, je peux les faire danser aussi, sans bouger. A la volonté je peux les faire bondir super vite, je fais ce que je veux avec.

 

- Oh, oh putain c'est trop génial ! Oh, tu... Hahaha ! Hahaha ! HAHAHAHAHA !

 

- ...

 

- Qu'est-ce qu'il y a, mon Toto ? Pourquoi cette tête ?

 

- J'ai... j'ai peur que tu te moques de moi.

 

- Je te jure que non, pas du tout. Je te jure, je suis en admiration totale, je n'ai jamais rien vu d'aussi beau. Mon Toto, je suis désolé de t'avoir délaissé ces derniers temps, ces dernières années même, je te promets que je vais me rattraper. Je passerai te voir autant que tu voudras, on passera tout le temps que tu veux ensemble. Je réalise à quel point tu es quelqu'un de fabuleux et à quel point tu es important pour moi. Tu sais quoi Antoine, je vais te prouver à quel point je tiens à toi, je veux que tu aies confiance en moi et je veux être là pour toi. Approche-toi. Tu sais à quel point je kiffe me taper des meufs et je m'en tape à tours de bras. Tu sais que je les enchaîne et que je suis le plus gros queutard qui existe. Et bien, si je ne te respectais pas, si je ne t'aimais pas de tout mon cœur, est-ce que je ferais ça.

 

[...]

 

- Wow, oh Loïc... Merci Loïc... Tu sais je me suis toujours demandé ce que ça faisait de... de t'embrasser.

 

- Et il y en a encore plein d'où ça vient ne t'inquiète pas, redonne-moi ta bouche que je t'en remette une couche, s'il y a bien une chose que je sais faire c'est rouler des pelles à la perfection.

 

[...]

 

- Et ça tu vois mon Antoine j'ai jamais fait ça à un mec et je pensais pas le faire un jour, mais tu m'as donné une telle preuve d'amour aujourd'hui, en bravant ta pudeur pour m'exposer tes muscles, en m'offrant la jouissance tactile de leur opulence, le moins que je pouvais faire était de te prouver l'étendue de mon affection pour toi. J'ai bien compris qu'au fil des ans tu aimais de plus en plus ma gueule de beau gosse, et tu vois ce sourire, tu vois ces yeux bleus, ils sont à toi mon copain, et j'ai encore envie de t'embrasser.

 

[...]

 

- Ah quel bonheur de lécher ta bouche en malaxant tes énormes muscles surpuissants, allez viens Antoine, je me rhabille, il est temps de livrer ta surabondante hypertrophie musculaire à l'adoration du peuple ! J'ai hâte de te voir faire spectacle de ce torse nu ultramusculeux, les visages ébahis, les regards pleins de désir, d'envie, de haine, il n'y a pas une seconde à perdre.

 

- Moi marcher torse nu dans la rue, devant tout le monde ? Mais ça n va pas la tête.

 

- Attends ! Tu seras habillé de lumière. Je vais faire un tour dans la cuisine...

 

- Mais qu'est-ce que tu fabriques ?

 

- Voilà ! J'ai trouvé ce truc marron, mélangé avec de l'huile tes muscles vont être d'une belle couleur, et bien luisants ! Je t'étale ça vite fait... Magnifique...

 

- Non Loïc, écoute-moi s'il te plaît ! Pas question que je sorte avec rien sur le dos.

 

- Hmmm... Et si on prend ma caisse, et qu'on va à la plage ?

 

- ... non, même.

 

- Ah, je sais. Je reviens tout de suite.

 

- Qu'est-ce-que tu fais avec un paire de ciseaux ?

 

- Passe-moi ton t-shirt. Tu vas avoir un t-shirt sur le dos.

 

- C'est n'importe quoi. Non. Ne touche pas à ce t-shirt, j'ai assez de mal à en trouver à ma taille.

 

- ... Oh je sais, mieux ! Moi je serai torse nu, comme ça, et toi tu seras en t-shirt !

 

- Mais Loïc pourquoi tu découpes ton t-shirt comme un sauvage ?

 

- Tiens enfile ça. Voilà. Très bien.

 

- Mais, Loïc... C'est pire que si j'étais torse nu ! C'est juste deux bouts de ficelles sur mes épaules, qui rejoignent un bandeau de tissu autour de ma taille... C'est obscène, mes muscles débordent de partout...

 

- Attends, la touche finale, là...

 

- Mon jean !

 

- ..Et là ! Magnifique. Le short juste au dessus du genou.... Parfait pour la plage.

 

- Loïc...

 

- Antoine, c'est le début d'une nouvelle amitié pour toi et moi. On va se balader tranquillement tous les deux sur la plage, je serai torse nu à côté de toi tu paraîtras encore plus énorme, encore plus sublime, encore plus surhumain, juste une petite demi-heure et après on va chez moi et on se posera tous les deux tranquillement, tendrement, et je prendrai bien soin de toi. Si ça te rassure, je peux te tenir la main quand on sera sur la plage.

 

- Je ne suis pas sûr...

 

- Penche-toi un peu vers moi que je t'embrasse encore.

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